Lors de l’audience publique du 27 octobre, un étudiant non binaire et trans qui vit et travaille au centre-ville a partagé son expérience de l’occupation.
«Je suis non-binaire et je suis trans, donc il y avait beaucoup de raisons pour lesquelles pour moi, c’était une chose très, très effrayante qui s’est produite. Je faisait mes cours en ligne à Algonquin de la maison et je travaillait aussi au centre-ville quand ça a commencé. À partir de là, cela a commencé à entraver progressivement ma vie de plus en plus de façons. Je me souviens avoir descendu la rue Bank peu de temps après que les camions aient en quelque sorte rempli Bank Street et avoir l’impression que ce n’est pas une ville que je reconnais, en ce moment ce n’est pas un endroit où je me sens en sécurité. J’ai l’impression d’être en quelque sorte directement en danger juste en fonction de ce que je vois, du genre de regards que je reçois, l’atmosphère était très très effrayante.
La menace viscérale de celui-ci, puis la chose physique d’entendre constamment les klaxons sont devenues vraiment insupportables. J’ai dû partir parce qu’on ne peut pas vivre cela, surtout en tant que personne queer.»
Vous pouvez voir le témoignage complet ici.
